Une épopée en 4 épisodes autour de textes contemporains des Balkans, dans le magnifique chapiteau élisabéthain de La Tour Vagabonde.
5 femmes et 1 homme, un « band » insolent et poétique.
4 soirées festives empreintes d’une joyeuse férocité, où se mêlent théâtre, musique et danse.
4 variations sur le même thème : Il faut beaucoup de mal pour faire un monde.
Des témoignages de la réalité, mais en même temps et surtout des fictions de cette réalité.
En général, si on veut vivre, il faut absolument engloutir quelqu’un ou se résoudre à l’être soi-même.
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Friedrich Dürrenmatt répondait en 1969 à «La Danse de mort» rédigée en 1900 par le dramaturge suédois August Strindberg, en resserrant drastiquement la charge qui y est sonnée contre la vie conjugale.
Au-delà de la débâcle du ménage que forment Edgar et Alice, notre satiriste national lance surtout un assaut féroce contre l’institution du mariage bourgeois. Au niveau de l’intrigue, on s’écharpe à qui mieux mieux un soir de noces d’émeraude – teintées de fiel. Selon un rituel quotidien, le vieil officier militaire, plumitif obsédé par la balistique (Jacques Michel, très chien), s’oppose dans un jeu de massacre verbal à son ancienne actrice d’épouse (Maria Mettral, très chatte).